Le screening c'est pour tout le monde et voici un bel exemple sur la lombalgie.
Cette nouvelle tendance met les kinésithérapeutes et les ostéopathes sur le même pied d'égalité : la prise en charge en première intention.
En posturopathie, le screening est déjà appliqué dans l'examen clinique et l’interrogatoire. Savoir distinguer les signes cliniques des douleurs associés à des pathologies d'exclusion est aujourd'hui incontournable. Tout n'est pas fonctionnel mais tout n'est pas pathologique. L'essentiel est de respecter ce qui ne doit pas être pris en charge et réadresser obligatoirement à une filière thérapeutique appropriée.
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